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Céline Domengie
est artiste et docteure en art, son travail se développe autour des notions de chantier et de transformation. Elle choisit des situations de changement ou des écosystèmes en mouvement à partir desquels elle expérimente des formes de présence et de représentation photographique, textuelle, sonore, vidéo ou encore éditoriale.
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Hervé Covès
est agronome et frère franciscain.
Il s’intéresse particulièrement aux bactéries et champignons ainsi qu’aux liens qu’ils entretiennent avec les humains. Il est à la tête d’un service de recherches pour la chambre d’agriculture de Corrèze. Il dirige aussi la truffière expérimentale de
Chartrier-Ferrière.
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Le Nouveau Ministère de l’Agriculture
est un duo d’artistes écoféministes. Issues des mondes ostréicole et rural, ses deux ministres observent les politiques agricoles françaises, rendent visibles leurs travers les plus problématiques dans des œuvres aux formes variées. La nomination fictive d’Hervé Covès comme ministre de l’Agriculture libère nos imaginaires en pensant avec le temps long des arbres et de la vie.
www.nouveauministeredelagriculture.com
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Adrian Piper
(née en 1948) est une artiste conceptuelle de la première génération et une philosophe de tradition analytique. Adrian Piper utilise une grande variété de médias pour engager le spectateur dans une relation directe et concrète avec l’œuvre. Elle explore la nature de la subjectivité et de l’action dans leurs contextes métaphysiques, sociaux et politiques.
En 2015, la 56e Biennale de Venise lui décerna le Lion d’or pour son œuvre intitulée The Probable Trust Registry: the Rules of the Game #1-3(2013-2015).
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Jean-Paul Thibeau
est né en 1950, à La Teste-de-Buch en Gironde. Artiste méta, enseignant et chercheur autonome, il se manifeste en France et à l’étranger depuis 1972.
Il a dirigé un laboratoire artistique à l’École supérieure des beaux-arts d’Aix-en-Provence,
le « méta-atelier », et a exposé dans plusieurs musées et centres d’art, notamment le CAPC à Bordeaux, le Palais de Tokyo
à Paris, L’appartement 22 à Rabat, ainsi que le Mahal Art Space à Tanger (Maroc).
Dès les années 1970, sa pratique ressort des mythologies individuelles et personnelles.
À partir des années 1990, il amplifie des processus d’expérimentations artistiques :
les protocoles méta, dont il est l’initiateur avec ses « méta-activités » et son « méta-art ». À partir de 2015, il prolonge
ses recherches et ses expérimentations
à partir d’un entrelacs de concepts :
la rencontre, l’hospitalité, la perception,
le récit d’expérience.